Ces dernières années, nous avons vu émerger de nouvelles pistes thérapeutiques dans la prise en charge des patients atteints de leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP). Ce sujet a été abordé à l’AAN lors des Neurology Update (Dr Kapadia, Calgary, Canada) et des sessions plénières (Dr Ambalathingal, Herston, Australie). La LEMP reste en 2023 un challenge majeur sur le plan thérapeutique. Les difficultés pour identifier un traitement sont en grande partie liées à l’hétérogénéité des pathologies prédisposant à la survenue d’une LEMP, celles-ci ayant une forte influence sur le pronostic vital et fonctionnel des patients concernés. Une récente cohorte française publiée par Joly et al., portant sur 585 patients entre 2008 et 2017, montrait une mortalité de 38,2 % à 1 an, mais variant de manière conséquente, allant par exemple de 33 % en cas de VIH/SIDA à 60,8 % en cas de néoplasie solide [1] (Fig. 1).
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