La chronique du mois vise à faire le point sur des éléments de base de neuroanatomie fonctionnelle. Elle a pour objectif de rappeler la neuroanatomie de manière ludique et accessible. Comme « Le simple est toujours faux », il sera nécessaire pour le lecteur de garder un œil critique et d’accepter que la chronique soit orientée vers un public non spécialisé.
Introduction
Les mouvements simples du quotidien : les saisies, les atteintes ou les frappes nécessitent un ajustement de variables cinématiques telle la vitesse ou l’accélération à des variables dynamiques comme la force ou le couple. Pour atteindre un point cible à partir d’un point initial, un nombre infini de schémas cinématiques est possible auquel un nombre infini de schémas dynamiques peut être associé. Pourtant, parmi tous ces plans, un seul est choisi et exécuté. Dans le système nerveux central, la planification dynamique est l’affaire de voies cortico-cérébelleuses, de l’olive et du noyau rouge que nous ne tarderons pas de reprendre [1]. La planification cinématique est quant à elle sous la direction des noyaux gris centraux (NGC), réalisateurs de génie d’un cinéma intérieur dont le mouvement est projeté au grand public [2] (Fig. 1).
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